Letters to French Ambassador in Tel Aviv and to French Consul in Jerusalem informing them about 14 year old O. Ambash’s horrid experience while she was under the guardianship of Israeli Social Welfare
Simon Holzman
Les deux présidents du Comité de Soutien F.L.A ont écrit à l’ambassadrice de France à Tel Aviv, Madame Hélène Le Gal et au Consul de France à Jérusalem, Monsieur Pierre Cochard, pour les alerter au sujet du cas de O. Lugassy-Ambash, 14 ans, franco-israélienne, maltraitée, viol(entée), devenue infirme alors qu’elle dépendait d’une institution d’État israélienne. L’institution en question, les Services Sociaux, avec la complicité des services de police de Jérusalem, ont étouffé l’affaire et prétendent que la mère est responsable alors qu’elle n'a plus la garde de sa fille depuis 7 ans ni sa tutelle.
The two Chairmans of the support Commitee to F.L.A wrote letters to the French Ambassador in Tel Aviv, Mrs Hélène Le Gal and to the French Consul in Jerusalem, Mr Pierre Cochard, to inform them about the case of O.Lugassy-Ambash, 14 year old French and Israeli citizen. O.was abused, (probably raped), became invalid while still depending of Israeli State institutions. The institution in question, the Social Welfare, with the complicity of the Jerusalem police, covered up the case and claimed the mother was responsible even though she lost custody of her daughter 7 years ago and is no more her daughter's legal guardian. (Two letters in French).
Monsieur le Consul Pierre Cochard
Consulat de France
5, rue Paul-Émile Botta
Jérusalem
Paris, mercredi 21 mars 2018
Cher Monsieur le Consul Pierre Cochard,
En tant que présidente du Comité de soutien à la famille Lugassy-Ambash, famille franco-israélienne, je vous prie de bien vouloir prendre connaissance du document ci-joint.
La jeune ressortissante franco-israélienne O. Lugassy-Ambash, âgée de 14 ans, a été maltraitée et violée alors qu’elle dépendait d’une institution d’État israélienne, elle ne peut plus marcher. Les services sociaux (Revaha) et l’association Reout, respectivement responsables et tuteur d’O., ont étouffé l’affaire au lieu d’affronter leurs responsabilités. Ils empêchent la mère d’accéder aux dossiers médicaux de sa fille, qui vient de subir une quatrième opération au niveau du cerveau et de la colonne vertébrale (mardi 20 mars 2018).
La police de Jérusalem (station Moriah), sur ordre des services sociaux, a classé l’affaire sans suite et sans enquête préliminaire au prétexte qu’il n’y aurait « pas eu crime ».
Alors que le monde entier s’insurge contre les violences faites aux femmes – « Me to », « Balance ton porc » – et que la petite O. Lugassy-Ambash souffre le martyr, est-il possible, comme il a été dit à Mme Lugassy-Ambash, que les autorités françaises ne puissent intervenir pour protéger cette jeune citoyenne française ? Nous faisons appel à vous en tant que représentant des Droits de l’homme et des valeurs de justice incarnées par la France, nous vous supplions bien vouloir faire intervenir les autorités françaises, et sollicitons un rendez-vous afin de définir avec vous un champ d’actions possibles.
Voici les coordonnées de l’avocat Yossi Nakar en charge du dossier : +972 (0)54 574 0854.
Dans l’attente de votre retour – nous sommes dans une situation d’urgence sanitaire –, je vous prie de recevoir, cher Monsieur le Consul, l’assurance de mes respectueuses salutations
Présidente du Comité de Soutien F.L.A
XXXXXXX
___
Madame l’Ambassadrice Hélène Le Gal
Ambassade de France
Retsif Herbert Samuel 112
Tel Aviv Yafo
Paris, mercredi 21 mars 2018
Chère Madame l’Ambassadrice Hélène Le Gal,
En tant que président du Comité de soutien à la famille Lugassy-Ambash, famille franco-israélienne, je vous prie de bien vouloir prendre connaissance du document ci-joint.
La jeune ressortissante franco-israélienne O. Lugassy-Ambash, âgée de 14 ans, a été maltraitée et violée alors qu’elle dépendait d’une institution d’État israélienne, elle ne peut plus marcher. Les services sociaux (Revaha) et l’association Reout, respectivement responsables et tuteur d’O., ont étouffé l’affaire au lieu d’affronter leurs responsabilités. Ils empêchent la mère d’accéder aux dossiers médicaux de sa fille, qui vient de subir une quatrième opération au niveau du cerveau et de la colonne vertébrale (mardi 20 mars 2018).
La police de Jérusalem (station Moriah), sur ordre des services sociaux, a classé l’affaire sans suite et sans enquête préliminaire au prétexte qu’il n’y aurait « pas eu crime ».
Alors que le monde entier s’insurge contre les violences faites aux femmes – « Me to », « Balance ton porc » – et que la petite O. Lugassy-Ambash souffre le martyr, est-il possible, comme il a été dit à Mme Lugassy-Ambash, que les autorités françaises ne puissent intervenir pour protéger cette jeune citoyenne française ? Nous faisons appel à vous en tant que représentant des Droits de l’homme et des valeurs de justice incarnées par la France, nous vous supplions bien vouloir faire intervenir les autorités françaises, et sollicitons un rendez-vous afin de définir avec vous un champ d’actions possibles.
Voici les coordonnées de l’avocat Yossi Nakar en charge du dossier : +972 (0)54 574 0854.
Dans l’attente de votre retour – nous sommes dans une situation d’urgence sanitaire –, je vous prie de recevoir, Madame l’Ambassadrice, l’assurance de mes respectueuses salutations.
Président du Comité de Soutien F.L.A
XXXXXXX