Première compagne de Daniel Ambash, est née au Maroc en 1964. Sa famille émigre en France alors qu’elle est jeune enfant. D’abord violoniste, championne de France de Kung Fu et quatrième mondiale aux championnats de Taïwan (1987), elle étudie la médecine chinoise lorsqu’elle fait retour, en 1987, à ses origines juives et se rapproche du courant hassidique Breslev. En 1988 Ilana se marie avec Daniel Ambash à Paris. Le jeune couple émigre en Israël après la naissance de leur premier enfant. Ils en conçoivent neuf autres en Israël.

En état d’invalidité suite aux fractures de ses deux épaules, Ilana ne peut plus exercer sa profession d’aide soignante. Aujourd’hui Ilana est comédienne de rue. Elle vend les disques de Daniel Ambash et les livres que la famille publiait.

Ilana vit donc avec Daniel Ambash depuis vingt-cinq ans.

En 2012, six mois après le démantèlement de sa famille, après avoir subi des violences policières, l’emprisonnement de Daniel Ambash et la perte de la garde de ses six enfants mineurs, Ilana est elle-même incarcérée, risquant onze ans de prison. (Fractures des deux épaules en prison - fractures soignées par des comprimés épisodiques de paracétamol).

Pourquoi cette incarcération ? Une délation fallacieuse à l’encontre de trois femmes, Ilana, Azamra

et Aderet : accusation du viol de B., adolescent de treize ans, fils d’E. la deuxième compagne. Au bout de onze mois d’une incarcération injustifiée, trois nouveaux avocats commis d’office réussirent à les innocenter au sujet du viol et les faire libérer du jour au lendemain. Les précédents avocats des trois femmes – avocats également commis d'office - leur assuraient aussi une libération immédiate à condition qu'elles acceptent de dénoncer Daniel Ambash et de se présenter comme ses esclaves - donc ses victimes agissant sur ordre. Les trois femmes refusèrent.

Les avocats qui ont innocenté les trois femmes et obtenu leur libération immédiate dénoncèrent et prouvèrent que « S? »,  cinquième compagne qui opta pour le statut de « témoin de l’État » à charge contre Daniel Ambash et B., l'adolescent présumé victime, avaient menti et produit de faux témoignages contre les femmes.

Ces premiers flagrants délits de mensonges et de faux témoignages n’invalident-ils pas la parole de « S? », la « ‘comme’témoin de l’État », principale accusatrice contre Daniel Ambash ?

« S? » ne fût pas, non plus, inquiétée par la justice pour  les conséquences de ses témoignages mensongers : les dommages causés à Ilana, Aderet, Azamra, leurs onze mois d’incarcérations arbitraires.

Le tribunal a refusé d’appeler Ilana à la barre alors qu’elle souhaitait témoigner en faveur de Daniel Ambash. La cour l’a juste autorisée, le 8 octobre 2013, dernier jour du procès, à venir durant un quart d’heure décrire la personnalité et les qualités humaines de Daniel Ambash, témoignage désigné par l’expression de « edout ofi ».

Depuis sa libération le 16 décembre 2012, Ilana s’efforce de visiter ses enfants dispersés aux quatre coins du pays dans diverses institutions de l’État. Elle se bat pour restaurer la vérité concernant l’homme qu’elle aime et sa dignité de femme libre - et non « d’esclave » telle qu’elle fût qualifiée par la justice israélienne.

Daniel Ambash’s first partner, was born in Morocco in 1964.  Her family emigrated to France when she was a young child.  First a violinist, then Kung Fu Champion of France and fourth place World Champion in Taiwan (1987), she studied Chinese medicine in 1987 when she returned to her Jewish roots and joined the Breslov Hasidic movement.  In 1988, Ilana married Daniel Ambash in Paris.  The young couple moved to Israel after the birth of their first child.  They conceived nine other children together in Israel.

Due to fractures, Ilana is now disabled and can no longer work in the nursing profession.  She works as a street performer and sells Daniel Ambash’s albums and the books the family published.

Ilana lived with Daniel Ambash for twenty-five years.

In 2012, six months after the family was dismantled, having suffered police brutality and the imprisonment of Ambash, and having lost custody of her six minor children, Ilana was incarcerated with the threat of an eleven-year prison sentence.  While in prison, she suffered fractures to both of her shoulders, which were treated with occasional doses of paracetamol.

Why was she incarcerated?  A false declaration had been made against three women:  Ilana, Azamra

and Aderet.  They were accused of having raped B., thirteen-year old teenager and son of E., Ambash’s second partner.  After eleven months of unjustified imprisonment, three new court-appointed lawyers succeeded in clearing them of the rape charges and got them released from prison within a day.  The women’s previous lawyers – who were also court-appointed – had also promised them immediate release, but only on the condition that they denounce Daniel Ambash and present themselves as his former slaves, victims who carried out his orders.  All three women refused.

The lawyers who cleared the three women of these charges and got them immediately released, exposed the situation and proved that S., Ambash’s fifth partner, who opted for the protected status of State witness for the prosecution, and B., the presumed adolescent victim, had lied and provided false testimony against the women. 

Shouldn’t the evidence of these lies and legal violations invalidate the testimony of S. as State witness for the prosecution and Ambash’s primary accuser? 

S. was not held accountable by the court system for the consequences of her false testimony – the damages she caused for Ilana, Aderet and Azamra and their eleven months of unjustified imprisonment.

The court refused to call Ilana to the witness stand despite her request to give testimony in Ambash’s defense.  On October 8, 2013, the last day of the trial, the court finally granted her a fifteen-minute court appearance as a character witness, called a “edout ofi,” to describe Ambash’s personality.

Since her release on December 16, 2012, Ilana makes best efforts to visit her many children, who have been placed in diverse State institutions in locations all over the country.  She is fighting to reestablish the truth about the man she loves and restore her dignity as a woman and a free citizen – not a “slave” as she has been labeled by the Israeli justice system.

Deuxième compagne de Daniel Ambash, est née aux USA en 1960. De santé fragile, E. émigre en Israël à l’âge de dix huit ans et y accomplit son service militaire. Elle se marie et divorce ensuite six fois. Religieuse, Hassid Braslav, proche de Rabbi Ysroel Dov Odesser, E. et son sixième mari ont traduit en anglais et publié la correspondance de Rav Ysroel Ber Odesser et du président d’Israël, Zalman Shazar, livre intitulé « Blossoms of the Spring ». E. est accueillie, malade, chez les Ambash en 1998 avec ses quatre enfants, tous en difficulté, dont elle a conservé la garde. L’aîné, alors âgé de dix ans, ne sait, à l’époque, ni parler ni lire.

Cancéreuse, se croyant condamnée, E. demande au couple de devenir les tuteurs de ses enfants et la deuxième compagne de Daniel Ambash. Ilana autorise cette configuration marginale. Ce fût donc avec l’assentiment des deux membres du premier couple Ambash, qu’E. devient la deuxième compagne et que ses quatre enfants sont élevés en commun avec les sept premiers enfants d’Ilana et de Daniel.

E. guérit et conçoit un fils avec Daniel Ambash, son cinquième enfant.

E. a donc vécu seize ans avec Daniel Ambash.

Un an après l’arrestation de Daniel Ambash, E. développe une maladie musculaire. Les douleurs la forcent à se déplacer en chaise roulante.

Le 28 avril 2013, E. vient au tribunal témoigner en faveur de Daniel Ambash.

En décembre 2013, soit un mois après la sentence qui condamne Daniel Ambash à 26 ans de réclusion, E. se désolidarise des autres femmes et officialise sa séparation avec Daniel Ambash.

Daniel Ambash’s second partner, was born in the U.S.A. in 1960.  Of fragile health, E. emigrated to Israel at the age of eighteen and served in the military.  She married and divorced six times, and is religious (Breslov Hasid close of Rabbi Ysroel Dov Odesser).  In 1998, E. was welcomed into the Ambash home with her four children, all in her full custody and all of whom had behavioral issues.  Her eldest son, ten years old, could not speak or read at that time.

Diagnosed with cancer and believing she would not survive, E. asked the Ambash couple to become the legal guardians of her children and proposed becoming a second partner to Daniel Ambash.  Ilana authorized this atypical arrangement.  And so with the consent of both Daniel and Ilana, E. joined the family with her four children, to be raised together with the couple’s first seven children.  E. won the battle against cancer and conceived one child with Daniel Ambash, her fifth.

E. lived with Daniel Ambash for sixteen years.

One year after Ambash’s arrest, E. developed a muscular disease.  Her mobility has since been restricted to a wheelchair, due to great pain.

On April 28, 2013, E. testified in court in Ambash’s defense.

In December 2013, one month after the sentence that condemned Ambash to 26 years in prison, E. disassociated herself from the other women and formalized her separation with Ambash.

In June 2012, LETTERS AFTER ARREST :  E. writes a biography letter and many stories concerning her family, her connection to the Ambash family, the police's violence, threats and blackmail.

In June 2013, Michael Korn, 6th husband of E., published a testimony article about his divorce with E. and how, together, they met the Ambash family

 En Juin 2012,  (voir: LETTERS AFTER ARREST) E. écrit une lettre biographique et raconte quantité d'histoires concernant sa famille, son lien à la famille Ambash, la violence policière, les menaces et les chantages de la police.

En juin 2013, Michael Korn, 6ème mari de E., publie son témoignage dans un article où il décrit son divorce avec E., leur rencontre commune avec la famille Ambash

Troisième compagne de Daniel Ambash, est née à Zrahia en 1981 dans une famille religieuse. L’ardente jeune femme, d’origine perse, fabrique des bijoux, danse magnifiquement et est comédienne de rue. Elle vient d’un minuscule village du sud d’Israël, Zrahia, près de Kiryat Malakhi. En 1999, en quête de spiritualité Breslev, elle rencontre la famille Ambash et se fiance à un jeune homme religieux, un hassid Breslev. Les fiançailles sont rompus par le jeune homme. C’est alors qu’Azamra intègre la famille Ambash et conçoit un fils, en 2001, avec Daniel Ambash.

Aujourd’hui Azamra est comédienne de rue. Elle vend les disques de Daniel Ambash et les livres que la famille publiait.

Azamra vit donc avec Daniel Ambash depuis quinze ans.

En 2012, six mois après le démantèlement de sa famille, après avoir subi des violences policières, l’emprisonnement de Daniel Ambash et la perte de la garde de son enfant, Azamra est elle-même incarcérée, risquant onze ans de prison.

Pourquoi cette incarcération ? Une délation fallacieuse à l’encontre de trois femmes, Azamra, Ilana et Aderet : accusation du viol de B., adolescent de treize ans, fils d’E. la deuxième compagne. Au bout de onze mois d’une incarcération injustifiée, trois nouveaux avocats commis d’office réussirent à les innocenter au sujet du viol et les faire libérer du jour au lendemain. Les précédents avocats des trois femmes - avocats, également commis d'office - leur assuraient aussi une libération immédiate à condition qu'elles acceptent de dénoncer Daniel Ambash et de se présenter comme ses esclaves – donc ses victimes agissant sur ordre. Les trois femmes refusèrent.

Les avocats qui ont innocenté les trois femmes et obtenu leur libération immédiate dénoncèrent et prouvèrent que « S? », cinquième compagne qui opta pour le statut de « témoin de l’État » à charge contre Daniel Ambash et B., l'adolescent présumé victime, avaient menti et produit de faux témoignages contre les femmes.

Ces premiers flagrants délits de mensonges et de faux témoignages n’invalident-ils pas la parole de « S? »,  la « ‘comme’témoin de l’État », principale accusatrice contre Daniel Ambash ?

«S?» ne fût pas, non plus, inquiétée par la justice pour les conséquences de ses témoignages mensongers : les dommages causés à Ilana, Aderet, Azamra, leurs onze mois d’incarcérations arbitraires.

Le 13 mars 2013, Azamra est venue témoigner en faveur de Daniel Ambash. Elle a démenti les accusations : jamais Daniel Ambash ne l’a ni abusée ni violée. Les juges ne l’ont pas cru. Daniel Ambash a donc été jugé coupable et condamné pour avoir abusé, violé et réduit à l’esclavage Azamra.

Depuis sa libération, le 16 décembre 2012, Azamra lutte pour obtenir l’autorisation de rendre visite à son fils et ne pas être déchue de son droit parental. Azamra se bat aussi pour restaurer la vérité concernant l’homme qu’elle aime et sa dignité de femme libre - et non «d’esclave», telle qu’elle fût qualifiée par la justice israélienne.

Daniel Ambash’s third partner, was born in Zrahia, Israel in 1981, to a religious family.  She is a fiery young woman, creator of original jewelry and a magnificent dancer and street performer.  From the tiny village of Zrahia, in the south of Israel near Kiryat Malakhi, she went in search of Breslov spirituality, and in 1999 met the Ambash family and got engaged to a young religious man, a Breslov Hasid.  When he broke off their engagement, Azamra joined the Ambash family.  In 2001, she conceived one male child with Daniel Ambash.

Today, Azamra is a street performer and sells Daniel Ambash’s albums and the books the family published.

Azamra lived with Daniel Ambash for fifteen years.

In 2012, six months after the family was dismantled, having suffered police brutality and the imprisonment of Ambash, and having lost custody of her child, Azamra was incarcerated with the threat of an eleven-year prison sentence.

Why was she incarcerated?  A false declaration had been made against three women:  Ilana, Azamra and Aderet.  They were accused of having raped B., thirteen-year old teenager and son of E., Ambash’s second partner.  After eleven months of unjustified imprisonment, three new court-appointed lawyers succeeded in clearing them of the rape charges and got them released from prison within a day.  The women’s previous lawyers – who were also court-appointed – had also promised them immediate release, but only on the condition that they denounce Daniel Ambash and present themselves as his former slaves, victims who carried out his orders.  All three women refused.

The lawyers who cleared the three women of these charges and got them immediately released, exposed the situation and proved that S., Ambash’s fifth partner, who opted for the protected status of State witness for the prosecution, and B., the presumed adolescent victim, had lied and provided false testimony against the women.

Shouldn’t the evidence of these lies and legal violations invalidate the testimony of S. as State witness for the prosecution and Ambash’s primary accuser?

S. was not held accountable by the court system for the consequences of her false testimony – the damages she caused for Ilana, Aderet and Azamra and their eleven months of unjustified imprisonment.

March 13, 2013, Azamra appeared in court and testified in Ambash’s defense.  She denied the prosecution’s accusations and stated that Ambash neither abused her nor raped her.  The judges did not believe her.  Ambash was judged guilty and condemned for having abused, raped and enslaved Azamra.

Since her release on December 16, 2012, Azamra is fighting for the right to visit her son and retain her parental rights.  She is also fighting to reestablish the truth about the man she loves and restore her dignity as a woman and a free citizen – not a “slave” as she has been labeled by the Israeli justice system.

Quatrième compagne de Daniel Ambash, est née à Bat Yam en 1973. Enseignante diplômée – intellectuelle studieuse et grande lectrice depuis sa tendre enfance - Aderet vient d’une famille juive orthodoxe de Bnei Braq. Elle a toujours rêvé de devenir écrivain. Ses cahiers de notes et de réflexions, rebaptisés «journaux intimes» par la procuration, ont été détournés et utilisés à faux lors du procès de Daniel Ambash. Divorcée d'un homme religieux et homosexuel au terme d'une union malheureuse, Aderet a enseigné les mathématiques et la littérature aux enfants Ambash avant d’intégrer la famille en l’an 2000.

Aujourd’hui elle est l’auteur de pièces de théâtre et comédienne de rue. Elle vend les disques de Daniel Ambash et les livres que la famille publiait.

Aderet vit donc avec Daniel Ambash depuis quatorze ans.

En 2012, six mois après le démantèlement de sa famille, après avoir subi les violences policières, l’emprisonnement de Daniel Ambash, Aderet est elle-même incarcérée, risquant onze ans d’emprisonnement.

Pourquoi cette incarcération ? Une délation fallacieuse à l’encontre de trois femmes, Aderet, Ilana, Azamra : accusation du viol de «B.», adolescent de treize ans, fils de «E». la deuxième compagne. Au bout de onze mois d’une incarcération injustifiée, trois nouveaux avocats commis d’office réussirent à les innocenter au sujet du viol et les faire libérer du jour au lendemain. Les précédents avocats des trois femmes - avocats, également commis d'office - leur assuraient aussi une libération immédiate à condition qu'elles acceptent de dénoncer Daniel Ambash et de se présenter comme ses esclaves - donc ses victimes agissant sur ordre. Les trois femmes refusèrent.

Les avocats qui ont innocenté les trois femmes et obtenu leur libération immédiate dénoncèrent et prouvèrent que «S?», cinquième compagne qui opta pour le statut de « témoin de l’État » à charge contre Daniel Ambash et B., l'adolescent présumé victime, avaient menti et produit de faux témoignages contre les femmes.

Ces premiers flagrants délits de mensonges et de faux témoignages n’invalident-ils pas la parole de « S? », la «comme témoin de l’État», principale accusatrice contre Daniel Ambash ?

«S?» ne fût pas, non plus, inquiétée par la justice pour les conséquences de ses témoignages mensongers : les dommages causés à Ilana, Aderet, Azamra, leurs onze mois d’incarcérations arbitraires.

Le 16 decembre 2012, Aderet a été convoquée au tribunal par la procuration afin de confirmer qu’elle avait bien écrit ces dits «carnets intimes». Elle a, par la même occasion, dénoncé leur détournement et les manipulations de sens - extractions de périphrases hors contexte. Sa parole n’a pas été entendue.

Aderet a également démenti les accusations : jamais Daniel Ambash ne l’a ni abusée ni violée. Là encore, les juges ne l’ont pas cru. Daniel Ambash a donc été jugé coupable et condamné pour avoir abusé, violé et réduit à l’esclavage Aderet.

Depuis sa libération, le 16 décembre 2012, Aderet se bat pour restaurer la vérité concernant l’homme qu’elle aime et sa dignité de femme libre - et non « d’esclave », telle qu’elle fût qualifiée par la justice israélienne.

Daniel Ambash’s fourth partner, was born in Bat Yam in 1973.  A credentialed professor, studious intellectual and avid reader from a very young age, Aderet comes from a Jewish orthodox family of Bnei Braq.  She always dreamed of becoming a writer.  Her notebooks of comments and thoughts, which have been labeled “diaries” by the prosecution against Ambash, were misinterpreted and used as false proof during the Ambash trial.  Divorced from an unhappy marriage with a religious homosexual man, she was math and literature tutor to the Ambash children before joining the family in the year 2000.

Today, Aderet writes stage plays and is a street performer.  She sells Daniel Ambash’s albums and the books the family published.

Aderet lived with Daniel Ambash for fourteen years.

In 2012, six months after the family was dismantled, having suffered police brutality and the imprisonment of Ambash, having lost custody of her child, Azamra was incarcerated with the threat of an eleven-year prison sentence.

Why was she incarcerated?  A false declaration had been made against three women:  Ilana, Azamra and Aderet.  They were accused of having raped B., thirteen-year old teenager and son of E., Ambash’s second partner.  After eleven months of unjustified imprisonment, three new court-appointed lawyers succeeded in clearing them of the rape charges and got them released from prison within a day.  The women’s previous lawyers – who were also court-appointed – had also promised them immediate release, but only on the condition that they denounce Daniel Ambash and present themselves as his former slaves, victims who carried out his orders.  All three women refused.

The lawyers who cleared the three women of these charges and got them immediately released, exposed the situation and proved that S., Ambash’s fifth partner, who opted for the protected status of State witness for the prosecution, and B., the presumed adolescent victim, had lied and provided false testimony against the women.

Shouldn’t the evidence of these lies and legal violations invalidate the testimony of S. as State witness for the prosecution and Ambash’s primary accuser?

S. was not held accountable by the court system for the consequences of her false testimony – the damages she caused for Ilana, Aderet and Azamra and their eleven months of unjustified imprisonment.

December 16, 2012, Aderet was summoned to court by the prosecution to confirm that she had written these so-called “diaries.”  She took the opportunity to state that they had been misquoted and misinterpreted – that excerpts had been taken out of context, twisted and manipulated.  Her testimony was disregarded.

Aderet also denied the prosecution’s accusations and stated that Ambash neither abused her nor raped her.  Once again, the judges did not believe her.  Ambash was judged guilty and condemned for having abused, raped and enslaved Aderet.

Since her release on December 16, 2012, Aderet is fighting to reestablish the truth about the man she loves and restore her dignity as a woman and a free citizen – not a “slave” as she has been labeled by the Israeli justice system.

La cinquième compagne, la belle et sa soit-disant liste de "300 amants" est née en 1980. Elle rentre à Jérusalem, auprès de sa famille dysfonctionnelle, après avoir accompli son service militaire. Violée dit-elle, enfant par son frère aîné dont elle demeure étrangement proche -frère qui fût incarcéré de nombreuses années- « S? » est accueillie par la famille Ambash en 2003 et l’intègre la même année.

Par peur de sa famille, dit-elle, «S.» refuse d’accoucher à l’hôpital et de reconnaître l’enfant qu’elle conçoit avec Daniel Ambash. L’enfant nait en avril 2005 avec des malformations. « S?» ne voit pas l’utilité de le faire, Daniel Ambash s’occupe donc de faire opérer leur enfant et Ilana le reconnaît comme sien jusqu’à ce que «S?» assume officiellement sa maternité après les arrestations, en 2011.

Daniel Ambash est incarcéré le 4 juillet 2011. «S?» est l’unique des six compagnes qui seraégalement et immédiatement incarcérée puis gardée emprisonnée une semaine pour être interrogée, du 4 au 11 juillet 2011. Elle opte ensuite pour le statut accusateur de "comme témoin de l’État” («kemo ed medina»)

En Israël, le statut de «ed medina», sur le modèle de repentis mafieux ou terroristes, octroie, au témoin compromis travaillant au service de la procuration, impunité, protection, avantages et/ou financement en échange de son activité de délation.

Son faux témoignage avéré à l’égard des trois femmes qui leur fit risquer 11 ans de prison et les fit incarcérer de façon arbitraire durant 11 mois, n’invalida d’aucune façon son accusation contre Daniel Ambash.

«S?» ne fût pas, non plus, inquiétée par la justice pour les conséquences de ses témoignages mensongers : les dommages causés à Ilana, Aderet, Azamra, leurs 11 mois d’incarcérations injustifiées..

«S?» a donc vécu huit ans avec Daniel Ambash.

Le 8 février 2012, soit sept mois après les arrestations et la dislocation de la famille « S? » se désolidarise officiellement (« guet »). Elle accouche d’un deuxième enfant en juillet 2013.

Voir les vidéos de S. sur Youtube

Daniel Ambash’s fifth partner, a 34 year-old beauty with a so-called list of "300 lovers," was born in 1980.  She returned to her dysfunctional family in Jerusalem after serving in the military.  Her violent brother, with whom she has continued to remain strangely intimate, raped her as she said, when she was a child; he has served many years in prison for other crimes.  She met the Ambash family in 2003 and moved in that same year.

S? conceived one child with Ambash.  Under the pretext that she feared her family, she refused to give birth in a hospital and refused to recognize the child as her own.  The girl was born deformed in April 2005. S? didn’t think it was necessary so Daniel had their daughter undergo surgery, and Ilana declared the child to be hers until S? admitted she was the mother following the family’s arrests in 2011.

Ambash was incarcerated July 4, 2011.  S? is the only one of his six partners to be incarcerated at the same time.  She was then kept in prison for a week of interrogation, July 4 to July 11, 2011.  She subsequently opted for the status of State witness for the prosecution against Ambash(‘kemo’ ed medina).

In Israel, the status of “ed medina,” modeled upon systems to protect mafia and terrorist informants, gives witnesses who agree to collaborate with the prosecution impunity, protection, advantages and/or financial recompense, in exchange for testimony.

The false testimony S? gave regarding unjustified rape charges filed against Ilana, Aderet and Azamra, for which they were arbitrarily imprisoned for eleven months, with the threat of eleven years in prison, in no way invalidated her accusations against Daniel Ambash in the eyes of the court.

S? was not held accountable by the court system for the consequences of her false testimony – the damages she caused for Ilana, Aderet and Azamra and their eleven months of unjustified imprisonment.

S? lived with Daniel Ambash for eight years.

On February 8, 2012, seven months after the Ambash family was dismantled, displaced and subjected to multiple arrests, S? formally disassociated herself from the family (“guet”).  In July 2013, S? gave birth to a second child.  

Check out S.'s videos on Youtube

Sixième compagne de Daniel Ambash, est née en Galilée en 1983 dans une famille laïque. Après avoir terminé son service militaire dans les hauteurs du Golan elle s’installe à Tel Aviv durant six ans. Tel Avivienne type, comédienne et professeur d’art dramatique, elle rompt avec son petit ami en 2008 et décide de « faire retraite » au kibbouts En Guev. S’amorce alors son retour aux sources juives. Elle suit un séminaire d’études juives, s’intéresse au hassidisme Breslev puis rencontre la famille Ambash qu’elle intègre en 2009.

Aujourd’hui Shiran est comédienne de rue. Elle vend les disques de Daniel Ambash et les livres que la famille publiait.

Shiran vit donc avec Daniel Ambash depuis cinq ans.

Shiran a été arrêtée le 16 octobre 2012 et placée en « isolation » (« bidoud ») durant quatre mois sous prétexte d’avoir tenté d’influencer trois témoins : «S?», B.- fils de E.- et O. Faits que Shiran nie absolument.

Le 7 avril 2013, Shiran est venue au tribunal témoigner en faveur de Daniel Ambash.

Depuis sa libération le 15 février 2012, Shiran se bat pour restaurer la vérité concernant l’homme qu’elle aime et sa dignité de femme libre  - et non « d’esclave », telle qu’elle fût qualifiée par la justice israélienne.

Daniel Ambash’s sixth partner, was born in Galilee in 1983, to a non-religious family.  After her military service in the Golan Heights, she lived in Tel Aviv for six years.  A Tel Aviv city type, actress and drama professor, she broke up with her boyfriend in 2008 to go on retreat in the kibbutz of Ein Guev, the beginning of her return to her Jewish roots.  She took a seminar in Jewish studies and studied Breslov Hassidism, then met and joined the Ambash family in 2009.

Today, Shiran is a street performer.  She sells Daniel Ambash’s albums and the books the family published.

Shiran lived with Ambash for five years.

Shiran was arrested October 16, 2012 and placed in solitary confinement (“bidoud”) for four months on the pretext that she attempted to influence three court witnesses:  S., B. (E.’s son), and O.  Shiran totally denies this accusation.

April 7, 2013, Shiran appeared in court and testified in Ambash’s defense.

Since her release on February 15, 2012, Shiran is fighting to reestablish the truth about the man she loves and restore her dignity as a woman and a free citizen – not a “slave” as she has been labeled by the Israeli justice system.